Vague de suicides chez les bizûths



Les HEC ont fait des bonnes affaires en prenant deux suicides pour le prix d’un







La tradition Faidherbarde l’exige : chaque classe doit se doter d’un suicide. Mais qui a interdit d’en choisir deux ? Cette année, les élections de fonctions chez les HEC ont été difficiles, à un point tel que les deux finalistes des épreuves de sélection du suicide n’ont pas pu être départagés. Max Lecaille et Altinaï Zaoui-Tarquinio se sont donc tous les deux vu attribuer le titre honorifique. « J’avais envie de participer aux épreuves du suicide, je trouvais ça marrant, et puis, au fond, déjà au lycée, j’occupais un peu cette place », explique Max. Altinaï, quant à elle, a tenté l’aventure sous le conseil de ses amis. Les épreuves ont vite souligné que tous deux avaient du potentiel pour remplir cette fonction. Aujourd’hui, ils l’exercent avec un sérieux irréprochable. « J’ai bien sympathisé avec le suicide kharré qui m’a filé quelques conseils et m’a expliqué en quoi consistait la fonction. Ca m’a aidé à me préparer ».



Une véritable équipe




« Nous ne sommes pas juste deux suicides agissant chacun de notre côté, nous avons abouti à une forme de complémentarité dans l’exercice de notre fonction », souligne Althaï. «  Je laisse les limousins et les challenges du même genre à Max et, de mon côté, je m’occupe des autres défis ». Les deux bizûths forment, aujourd’hui, une véritable équipe. Les suicides des autres khlâsses ont eu affaire à de redoutables adversaires pour le poste de KZ, un poste qu'ils ont d'ailleurs remporté avec brio.
                E.V.

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