Quand concours blanc rime avec stress et fatigue pour les hypokhâgneux
En cette fin d'année ensoleillée, nos chers hypokhâgneux ont planché des heures durant. Les AL ont ouvert le bal fin mai et les BL ont suivi la marche.
Les journées s'allongent et le soleil est de plus en plus au rendez-vous à Lille, mais les premières années littéraires ne peuvent encore pleinement en profiter, en cause: les concours blancs. L'année se terminant, les exigences sont plus élevées du côté des professeurs et la pression également du côté des étudiants qui espèrent être à la hauteur de celles-ci. La fatigue est quant à elle présente chez tous les élèves, qui, en ce mois de mai, ont l'impression d'avoir investi l'essentiel de leur énergie durant l'année et de n'en avoir plus tellement en stock.
Ces dernières épreuves clôturent en quelque sorte une année qui fut chargée pour les petits terminales qui sortaient tout juste du lycée. Derniers efforts pour les préparationnaires et en prime les vacances d'été pour profiter des beaux jours!
Pour avoir un aperçu complet de ce concours blanc, nous avons interrogé pour vous les hypokhâgneux avant et après les épreuves.
F.E: Comment vous sentez-vous à la veille de ce second concours blanc?
Lola et Héloïse (en HK2): On ne se sent pas du tout prêtes au niveau des révisions: on a pas eu le temps de commencer à réviser avec toutes les autres choses que l'on avait à faire.
Lola: Je me sens mieux qu'avant le premier concours blanc, j'ai changé mon attitude et pour certaines matières, ce sont les mêmes thématiques à réviser. Ce n'est pas du pur apprentissage: en histoire c'est exactement la même chose qu'au dernier.
F.E: Qu'attendez-vous de ces épreuves finales?
Lola: Je me mets plus la pression parce que j'ai vraiment envie de montrer que j'ai progressé tout au long de l'année. C'est la dernière grosse étape et j'aimerai avoir la moyenne partout. Je pense que c'est important pour le conseil de classe, dans la décision.
F.E: Quelles sont vos impressions générales vis-à-vis des épreuves qui viennent de s'achever?
Maïwen (HK1): On se rend plus compte des exigences de la khâgne et on se dit qu'on va avoir beaucoup de mal à survivre l'année prochaine
Coline et Yousra (HK1) : De la crainte de recevoir les notes mais surtout de la satisfaction de l'avoir fait, d'avoir réussi à terminer l'année et de voir qu'on a pris de la maturité entre les deux concours blancs.
F.E: Avez-vous la sensation d'avoir progressé?
Charlotte (HK1): J'ai vu que j'avais progressé aux DS du samedi mais le concours là, j'étais tellement fatiguée qu'au final je crois que mes disserts sont du même niveau que celles du début d'année.
Coline: Oui je sais que j'ai progressé même si ça ne se verra pas forcément dans mes notes.
Les journées s'allongent et le soleil est de plus en plus au rendez-vous à Lille, mais les premières années littéraires ne peuvent encore pleinement en profiter, en cause: les concours blancs. L'année se terminant, les exigences sont plus élevées du côté des professeurs et la pression également du côté des étudiants qui espèrent être à la hauteur de celles-ci. La fatigue est quant à elle présente chez tous les élèves, qui, en ce mois de mai, ont l'impression d'avoir investi l'essentiel de leur énergie durant l'année et de n'en avoir plus tellement en stock.
Ces dernières épreuves clôturent en quelque sorte une année qui fut chargée pour les petits terminales qui sortaient tout juste du lycée. Derniers efforts pour les préparationnaires et en prime les vacances d'été pour profiter des beaux jours!
Pour avoir un aperçu complet de ce concours blanc, nous avons interrogé pour vous les hypokhâgneux avant et après les épreuves.
F.E: Comment vous sentez-vous à la veille de ce second concours blanc?
Lola et Héloïse (en HK2): On ne se sent pas du tout prêtes au niveau des révisions: on a pas eu le temps de commencer à réviser avec toutes les autres choses que l'on avait à faire.
Lola: Je me sens mieux qu'avant le premier concours blanc, j'ai changé mon attitude et pour certaines matières, ce sont les mêmes thématiques à réviser. Ce n'est pas du pur apprentissage: en histoire c'est exactement la même chose qu'au dernier.
F.E: Qu'attendez-vous de ces épreuves finales?
Lola: Je me mets plus la pression parce que j'ai vraiment envie de montrer que j'ai progressé tout au long de l'année. C'est la dernière grosse étape et j'aimerai avoir la moyenne partout. Je pense que c'est important pour le conseil de classe, dans la décision.
F.E: Quelles sont vos impressions générales vis-à-vis des épreuves qui viennent de s'achever?
Maïwen (HK1): On se rend plus compte des exigences de la khâgne et on se dit qu'on va avoir beaucoup de mal à survivre l'année prochaine
Coline et Yousra (HK1) : De la crainte de recevoir les notes mais surtout de la satisfaction de l'avoir fait, d'avoir réussi à terminer l'année et de voir qu'on a pris de la maturité entre les deux concours blancs.
F.E: Avez-vous la sensation d'avoir progressé?
Charlotte (HK1): J'ai vu que j'avais progressé aux DS du samedi mais le concours là, j'étais tellement fatiguée qu'au final je crois que mes disserts sont du même niveau que celles du début d'année.
Coline: Oui je sais que j'ai progressé même si ça ne se verra pas forcément dans mes notes.
Philippine Oisel
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