"Science sans conscience..."
Prose Taupine :
Bonjour, bonsoir ! Le petit texte qui suit est une expression de pure amour de la chose de science. Il nous arrive tous de se perdre et d'oublier d'où l'on vient. Quand c'est le cas il m'arrive d'écrire, pour me rappeler pourquoi je souffre avec le sourire en votre compagnie, en me transformant entre deux DM de maths en une sorte d'apôtre des Sciences. Il a été écrit durant les vacances et peut-être que d'autres suivront, j'aimerais bien écrire sur ce personnage plein de fougue et de rage, prêt à invoquer Newton à tout bout de champs.
« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme. »
M’est avis que Rabelais n’a jamais vraiment regardé les étoiles. Je sais qu’il parlait d’une folie grandiloquente et de progrès machinal, mais le vieux si il lance de l’anthropologie dans un coeur en fusion et bien elle crame.
On meurt à vouloir enfermer l’infini en une cabosse bien réglée, l’Univers est taré, sa science se doit de l’être. Moi l’Infini je l’aime, si c’était une femme ce serait mon premier amour, celui qui te bute à petit feu pour finalement faire surgir l’Idée de la femme, pas les formes ou le caractère idéal non, juste une passion dévorante pour tout ces traits d’une fulgurante élégance. Quand la rue devient passante et que tu cherches cette ancienne idylle comme pour fuir le dernier couac. Il n’y a plus de conscience quand l’Univers te dépucelle, à aimer la silhouette que dessinent moult étoiles on est juste de pauvres cocus d’infinis.
On s’envoie le monde en l’air avec de maigres Lois et Modèles mais dans le fond, on veut lui donner substance à cette toile parsemée d’étoiles.
Merci de votre lecture !
Giboni Lucas.
Bonjour, bonsoir ! Le petit texte qui suit est une expression de pure amour de la chose de science. Il nous arrive tous de se perdre et d'oublier d'où l'on vient. Quand c'est le cas il m'arrive d'écrire, pour me rappeler pourquoi je souffre avec le sourire en votre compagnie, en me transformant entre deux DM de maths en une sorte d'apôtre des Sciences. Il a été écrit durant les vacances et peut-être que d'autres suivront, j'aimerais bien écrire sur ce personnage plein de fougue et de rage, prêt à invoquer Newton à tout bout de champs.
« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme. »
M’est avis que Rabelais n’a jamais vraiment regardé les étoiles. Je sais qu’il parlait d’une folie grandiloquente et de progrès machinal, mais le vieux si il lance de l’anthropologie dans un coeur en fusion et bien elle crame.
On meurt à vouloir enfermer l’infini en une cabosse bien réglée, l’Univers est taré, sa science se doit de l’être. Moi l’Infini je l’aime, si c’était une femme ce serait mon premier amour, celui qui te bute à petit feu pour finalement faire surgir l’Idée de la femme, pas les formes ou le caractère idéal non, juste une passion dévorante pour tout ces traits d’une fulgurante élégance. Quand la rue devient passante et que tu cherches cette ancienne idylle comme pour fuir le dernier couac. Il n’y a plus de conscience quand l’Univers te dépucelle, à aimer la silhouette que dessinent moult étoiles on est juste de pauvres cocus d’infinis.
On s’envoie le monde en l’air avec de maigres Lois et Modèles mais dans le fond, on veut lui donner substance à cette toile parsemée d’étoiles.
Merci de votre lecture !
Giboni Lucas.
Commentaires
Enregistrer un commentaire